

Après que la mairie nous ai écarté de la reprise de la boulangerie courant Décembre 2013, le maire nous reconctacta finalement 3 semaines plus tard afin de savoir si nous étions toujours intéressé (la queue entre les pattes).
Même si nous avions d'autres projet celui-ci était le plus intéressant, nous acceptons la reprise et arrivons le 27 Janvier 2014.
Je commence le travail avec l'ancien four pendant une semaine puis le changement de four intervient, le nouveau est utilisé pour la première fois le 11 Février 2014.
Dès le début je contaste que le four déconne, mais plutôt que de dire que c'est de la merde, je me remet en question notament ma façon de faire la pâte... Forcé de constater que la cuisson m'échappe je demande conseil auprès du démonstrateur du Moulin Méchain auprès de qui je me fourni.
Le 5ème jour de travaille avec le four le démonstrateur constate comme moi qu'il y a un soucis de cuisson, mais pas de panique nous poussions tout deux à un problèmes de réglages.
Avant que je ne décide avec ma femme de demandé des comptes à la Marque Pavailler directement sur leur stand au salon Europain de Paris le 10 Mars 2014, il faut savoir que l'installateur et venu à plusieurs reprise faire des réglages et des essais mais sans jamais avoir de résultat.
Nous allons donc au salon sur le stand Pavailler où nous sommes reçu avec de mini-viennoiserie et des propositions de café offert, mais nous ne sommes pas venu pour ça et nous rentrons tou de suite dans le vif du sujet avec le commerciale qui a répondu à l'appel d'offre de la mairie.
Ne celui-ci est au courant de notre dossier et va voir ce qu'il peut faire pour nous, grace au sac de baguettes "test" que nous avons ramené les baguettes sont nottés:
_de la température de cuisson,
_de la température de la pâte avant rentré dans le four
_du taux d'hydratation
_du temps de pétrissage
_du temps de cuisson
Malgrès tout le commerciale ne peut apporté de réponse et nous refourgue au responsable du S.A.V. de chez Pavailler, qui me donne leurs cartes tout en nous tennant le même discours "on va voir ce que l'on peut faire pour vous Monsieur, Dame" et "merci d'être venu".
Les mois s'écoule et tous les dimanches ou presque le maire vient réglé la nôte de la semaine (la famille Wiciak et la seul à régler à la semaine, les autres clients achètent des jetons en avance puis règlent leur pain avec ces jetons qui équivaux à des bons, les 6 achetés le 7ème offert une formule qui me permet d'avoir la possibilité de régler mes fournisseur en direct et de disposé d'une trésorerie, bref le maire et son père son les seuls qui n'ont pas régler leurs ardoise, heureusement ils ont les seuls à qui je faisais crédit !) lors de cette venu hebdomadaire il gonfle le torse, puis prend un aire solenelle, et demande "tout va bien?".
Ma réponse fut toujours plus ou moins géné "bah le non, le four déconne toujours autant", le maire venanit d'acquérir pour le biais de la mairie un four neuf est je suis seul contre tous à dire que rien ne va et que j'ai environ 20% de production qui crâme.
Le maire trouve le pain génial et ne comprend pas ce que je veux dire ou il s'en fou (au choix).
Je lui explique donc que la majorité de ma clientèle est composé de vieux et que sur une baguettre ces vieux coupe en deux la baguette mange le dessus et le dessous part aux poules, le maire me répondait qu'il trouvait les vieux du village plutôt généreux!
Devant tant de je m'en foutisme, je me sentais bien seul.
Lorsque le batteur Hobart des années 14-18 ainsi que le laminoir La Parisienne tombèrent en panne je perdit pas de temps et je fit le nécessaire pour racheté du matériel à savoir en remplacement du batteur mon choix s'est porté sur une VMI Phébus PH 401 puis sur un Rondo pour remplacer le laminoir, bref ce n'est pas la même merde que se qu'il y avait avant! Et lors des venu du maire les dimanche je lui est fait part du changement de matériel et de la mise au rebut des autres de manière verbale.
A plusieurs reprise (5 reprises) lors de mes tournée, le maire venait en semaine faire chier ma femme en lui demandant de signer pour moi la convention relative à l'achat du four, ce qu'elle a toujours refusé de faire car nous sommes marié sous le statut de la séparation de biens.
Bref devant tant d'insistante j'ai commencé à vraiment me méfier sur les intentions réelles du maire concernant le four.
Puis le 16 Mai je reçu par pli recommandé un courrier me disant que la commune avait acheté le four pour faire vivre son dernier commerce,blablabla,il confirme que de nombreux réglages et modifications ont été apportés dans le but de faire fonctionné le four, il espère que je suis pleinement satisfait et me demande de signé la fameuse convention jointe.
D'en d'autres termes il fait comme si tout allait pour le mieux dans le meilleur des monde alors que je lui est toujours dit le contraire et me demande de signer son papaier pour un four qui ne fonctionne toujours pas malgrès les danses spirituelle et les incantations récité par l'installateur qui n'ont eu aucun effet sur le four.
Je retourne donc un courrier avec A.R le 21 Mai à la commune disant que je me désiste de la vente et que je propose les solutions suivantes:
1)Contacter une nouvelle fois Pavailler, les mettre en demeure sous quinzaine de récupérer leur four (sans frais et sans condition) car leur incompétence/in-action à pousser le repreneur du four à se désister de l'achat de celui ci.
2)Suite à une mise en demeure de Pavailler, négocier la pose d'un four adapter à la boulangerie (si vous souhaiter continuer à faire travailler cette marque).
3)Contacter l'entreprise Clicomat qui peut s'occuper de la vente du four et la pose d'un nouveau four d'occasion ou neuf (lors de mes précédant échanges avec eux deux personnes étaient intéressé par le four, toute fois il le reprendrais pour pièces, donc à un prix bien moindre de ce que la commune a investie ).
4)Vous retourner contre moi qui me suis engager à prendre les mensualités de mon prédécesseur sans savoir la taille ni même les détailles du four qu'il à commandé avant la pose de celui-ci et surtout de ne pas savoir qu'il ne fonctionnerait pas.
Voici donc quatre solutions pour sortir de cette situation folle pour moi, gênante pour vous, classées par intérêt, vous pouvez soutenir la première par les nombreux défauts du four dont l’installateur à la liste, par la consommation, par la démesure de sa capacité théorique de cuisson et par la garantie encore une fois théorique dont le four bénéficie.
J'ai acquis la certitude lors d'échanges avec des professionnels de la maintenance que le défaut principal du four provient d'une zone bien spécifique et très technique qui demande le démontage complet du four et ce serait pour cette raison que Pavailler laisse le temps passer sans vous donner de réponse, ceci dans l’espoir que la garantie ne prennent plus en charge cette malfaçon.
D'importants investissements ont eu lieu (importants pour l'entreprise) notamment l'achat d'un four pour épargné les tartes et autres viennoiseries du four diabolique récemment installé.
J'ai à plusieurs reprise invité quelques membres du conseil à suivre une cuisson pour ce rendre compte des choses.
Je vous convie donc à organiser une sortie pédagogique à la boulangerie, afin que j'explique à tout les membre du conseil les difficultés rencontrer et que tous puissent me poser leurs questions.
J'indique également dans le courrier que chaque correspondance ferra l'objet d'un affichage systématique afin d'informé les administré qui sont aussi mes clients.
Et puis le 21 Juin 2014, je pète les plombs, durant la tournée j'ai perdu 5 clients, en rentrant à la boutique je contaste que ma femme n'a pas mis les pâtisseries en vente jamis donc tout envoyé en l'air, puis j'ai chargé les deux enfants dans la voiture est je me suis barré de ce bordel.
On appelle ça un "Burn-out" ou "épuisement professionnel".
Le 30 Juin 2014 le maire organisa une réunion pour expliqué aux habitants pourquoi la boulangerie est fermé et comment il aller faire pour faire revenir le boulanger, ma femme qui y assista expliqua que le maire n'avait rien fait pour faire valoir la garantie du four et lui lui rétorqua qu'une procédure d'expertise avait été demandé le 6 Juin 2014 (soit 5 mois après les premiers appels aux secours!).
Bref le maire s'engagea à cesser les mensualités concernant les loyers et l'achat du materiel de la boulangerie, promesse qui n'a pas été tenu donc j'ai vendu le matériel récement acheté pour faire face à mes 852€ d'obligations mensuelles.
Dans le mois de Juillet et les mois suivant j'ai contacter plusieurs média (TF1, France3,Sud-Ouest,l'Hebdo,l'Angérien libre,News 360x) si tous avait l'aire très intéressé du sujet aucun ne m'a recontacté! Alors j'en ai recontacté un pour savoir combien la mairie avait acheté son silence (mais ça ne l'a pas fait rire), il m'a dit que tant qu'il y avait des procédures il ne publirais rien! (pour Sarkozy aussi il a des procédures ?!?).
Mi-Juillet je demande l'assistance de Maitre Sarfaty,mais après des avances sur honoraires versés, trois de perdu, ce cher Monsieur Sarfaty ne comprend pas mon dossier ou comment le défendre.
Cependant il m'invite à lui faire de nouveaux réglements par chèque un premier de 247€ puis un secnd de 1200€ afin d'emmener mon affaire au tribunal, même si 2 minutes avant il m'expliqué ne rien comprendre à mon dossier ni savoir comment le défendre !?!?!
Le 28 Juillet je demande le repport de l'expertise et que la commune supporte le coût de cette expertise, quelle face l'expertise dans les conditions réelles en faisant 200 pièces minimum et prolongeant l'expertise sur 5 jours pour avoir une expertise de qualité et non-pas approximative.
Le 11 Septembre après de nombreuses tentatives de contact j'eu un R.D.V. avec la sous-préfête de Saint Jean d'Angely Mme.Harzic Edith afin d'avoir une médiation à ma demande.
Malheureusement la médiation était toute trouvé! En effet la sous-préfête ma fait part de son autorité dans le canton et du fait qu'elle était garante de l'ordre publique et du fait de mon occupation dans la boulangerie fermé, des incriptions sur la vitrine et des affichages de courrier je représentait un trouble à l'ordre publique.
Elle m'a donc demandé de quitté les lieux purement et simplement.
Mais devant mon refus et ma demande de récupérer les loyers versés pour l'achat du matériel elle me proposa le "marché" suivant:
"Concernant les plaintes que Mr le maire à déposé à votre encontre, je peut les faire levé si vous quittez le lieux sans rien demandé et sans faire de vague".
Je prend connaissance le 28 Octobre d'une plainte en diffamation du maire et décide le lendemain de déposé plainte contre la sous-préfête et contre le maire pour motif d'abus de faiblesse et de chantage.
Bref je demande finalement l'aide du bureau d'Aides Juridictionnel qui après commission de dossier m'accord l'A.J. totale avec un nouvel avocat et l'aide d'un Huissier pour faire des constatations concernant le four.
Ma nouvelle avocate m'explique que pour un juge il faut des preuves, que les gribouillis sur des sacs de farine ou sur des feuilles volantes, les email envoyés au maire ou au fabricant, les photos des fournées ou des baguettes cramées et tordus ne suffisait pas et qu'il fallait au minimum un constat d'huissier pour démontrer un début de preuves afin de pouvoir contester le bon fonctionnement du four que la mairie avance.
Ayant compris l'importance d'une expertise et afin de pouvoir demandé réparations pour les préjudices que cette affaire à engendrer, j'ai demandé à ce qu'une nouvelle expertise soit prévu et je me suis engagé à fournir le fioul, la farine, l'électricité et les machines pour sont déroulement, aucune suite ne fut donner.
Etant contraint de payer les 852€ de loyer même si l'entreprise était fermé à cause du four, j'ai ré-ouvert sous forme de dépot de pain en Septmbre.
Mais la réalité est qu'entre temps le maire à organisé le passage d'un boulanger dans le village et que les habitants sont tous ou presque agriculteur .
Dans le millieu agricole il y a quelques subventions qui passent par le bon vouloir de la mairie, ou bien le captage interdit dans le cour d'eau qui traverse le village, interdiction qui pourrait finalement être appliqué pour certain ou des permis de construire qui prendrais un peu plus de temps que prévu!
Bref une vraie omerta existe et plane dans ce village, beaucoup d'administré nous soutenaient dans notre combat mais lorsqu'il fallu des attestation pour dire qu'ils ont acheté des sac de pains cramés il n'y avait plus personne !
D'ailleur ce qui fut étrange c'est que les habitants se sont séparer en deux partis:
_Ceux qui soutiennent le maire,
_Ceux qui soutiennent le boulanger, alors que le sujet principal portait sur le fonctionnement du four!
Bon j'avoue que par la suite tout le monde n'en avais plus rien à foutre du four et voulais ma peau !
La raison est la deuxième réunion que le maire organisa le 31 Octobre "afin de faire le point sur la boulangerie" où aucune avancer n'aller être annoncé et où le maire s'est adonné à une foule en délire telle une rock star !
Le maire s'est servie d'écrit sur la page Facebook de mon entreprise où j'écrit:
*Ceci est une page pour sensibiliser tout le monde face à un maire qui se sent tout puissant mais qui n'en branle pas une:
Wiciak Joël maire des Touches de Périgny,
*Les différent articles démontre notre épopée face à des guignols, bonne visite et n'hésitez pas avec les commentaires bons ou mauvais!
*Concrètement on s'installe dans une boulangerie située dans le village des Touches de Périgny en Charente Maritime (pays d'ivrogne, d'incultes, de consanguins et de vieux!).
Ce qui m'est passé par la tête? vous voulez le savoir? ok lisez mes lettres explicatives qui suivent en dessous.
Concernant mon épuisement professionnel connu sous le nom anglais burn-out:
Je n'ai pas ré-ouvert le 22 juin car la veille j'ai perdu 5 clients toujours du fait de la non-régularité des pains lors de ma tournée, puis en rentrant les pâtisseries préparées avant la tournée ne furent pas mis en vente en temps et en heure par ma femme, ce qui eu pour effet de louper la vente de la matinée, ce n'était pas la première fois, ce qui a conduit à un pétage de plombs.
J'ai donc quitté les lieux afin de prendre du recule.
En date du 24 Juin 2014 voyant porte close le maire à demandé le concours de la gendarmerie afin de déterminé si je n'avais pas zigouillé ma famille et moi (drame familiale).
A plusieurs reprise ma femme avais ultérieurement mis en garde le maire que si je venais à faire une connerie (sans toute fois la définir) qu'elle mettrais sa responsabilité en cause.
Le maire de part cette action démontre qu'il avait connaissance ou à minima conscience de l'état psychologique de ma famille ou à minima de mon propre état d'épuisement psychique, il ne peut donc nier sa tentative d'abus de faiblesse à mon encontre.
Lors du rendez-vous « de médiation » du 11 septembre avec Mme,Harzic sous-préfet de Saint Jean d'Angély à l'époque des faits.
Rendez-vous où l'on m'invitait à partir sans faire de vagues et sans demandé mon du sans quoi elle ne pourrait demander au maire de lever ses plaintes à mon encontre notamment celle au pénal.
Si j'ai déposé plainte à l'encontre du maire et de la sous-préfète pour chantage et abus de faiblesse c'est parce-que je me sens réellement lésé dans cette affaire et que je n'ai pas eu l'assistance d'un avocat pour qualifié ou déterminé les accusations que je porte encore aujourd'hui,ce n'est nullement par esprit de vengeance.
Si le maire n'explique pas le “comportement destructeur et instable” j'apporte un élément de réponse avec la dépression dont ma femme et moi souffrons depuis les problèmes rencontrés avec la mairie.La dépression se traduit par un trouble de l'humeur:
Les émotions ne sont ni bonnes ni mauvaises, mais sont agréables ou souffrantes selon le cas. L’individu se sent normalement en contrôle de ses émotions et de ses affects, en particulier parce que l’intensité de son expérience émotive ne le dépasse pas.
Par contre, pour certains, les moments heureux ou difficiles prennent une ampleur démesurée à tel point qu’ils perdent le contrôle de leur vécu émotif, tant des émotions que des affects. Il peut alors s’agir d’un trouble de l’humeur. Les troubles de l’humeur sont très fréquents, surtout parce que l’un d’eux, la dépression, touchera près d’une personne sur cinq au cours de sa vie. Les troubles de l’humeur ne discriminent pas et ne sont pas racistes : ils peuvent affecter les enfants, les adolescents ou les adultes jeunes et vieux, peu importe leur race, leur sexe, leur condition sociale ou leur éducation.
Il existe différentes formes de troubles de l’humeur : Notamment la dépression
Il faut comprendre que dans mon cas l'argent ne tombe pas du ciel et les affaires juridique s'apparente à traîné des casseroles.
Toujours de manière métaphorique ma plainte sert de placard pour les plaintes à mon encontre (si on ne peut pas se débarrassé des casseroles et de leur bruit on peut cependant les rangées).
Tous les dossiers concernant cette boulangerie n'ont pour effet que de nous déséquilibrés ma femme et moi pour l'avenir.
Concerant les propos tenu sur Facebook le 19 Octobre 2014.
A l'inverse de ce que mon statut de commerçant m'impose je me suis livré à une définition critique du lieu où j'exerce mon métier à titre individuel et de manière personnnel.
Si les propos choque ou divise je le comprend mais les faits sont :
Ceci est une page pour sensibiliser tout le monde face à un maire qui se sent tout puissant mais qui n'en branle pas une.
Car il aura fallu 5 mois au maire afin de déclaré le sinistre à son assureur malgrès mes nombreuses plaintes.
Concrètement on s'installe dans une boulangerie située dans le village des Touches de Périgny en Charente Maritime (pays d'ivrogne, d'incultes, de consanguins et de vieux!) en fin Janvier 2014. Lors des tournées différents clients sont dans un état d'ébrillété avancé, refoule l'acool à chaque parole.
Ma clientèle ne connait rien d'autres que la vigne et ne veut rien connaître d'autre, elle reste enfermé dans sa bulle se contentant de son reflet dans le lavabo d'où le terme d'inculte mais il ne s'agit que d'une constatation (il faut de tout pour faire un monde et faut accepter que l'on est et que l'on sera toujours le con de quelqu'un d'autre).
En connaisant les liens de parenté de la clientèle ma femme et moi nous rendons rapidement compte que tous le canton est cousin entre eux et ma non connaissance de toutes les subtilité de la langue française ne mon pas permis d'avancé un synonyme au mot consanguin, il s'agit d'un réel sujet dans la région car lors de son premier entretien pour le suivi de grossesse de mon épouse la sage femme à demander parmi les nombreuses questions posés "est ce-que votre mari est votre cousin".Son étonnement fût faible mais la sage femme à confirmé les faits de consanguinité afférent à la région verbalement comme un réel sujet en atteste l'extrait de son dossier périnatal.
Le mot «vieux» origine du latin «vetus» (en français on a le terme dérivé de «vétuste») qui signifie «qui est vieux, détérioré par le temps, usé ou dégradé».A l'époque de mes grands parents, on pouvait constater une cohérence entre la vieillesse «sociale» et l'usure biologique. On était considéré comme vieux dès qu’on n’avait plus la force physiquement.
Si les mots utilisés peuvent-être critiqué se n'est que par la tournure dont ils ont étés formulé part le maire lors de la seconde réunion publique de façon à divisé le population qui n'avait pas accés à mes propos car la majorité des habitants n'utilise pas d'ordinateur et de ce fait internet.Le maire à simplement saisi une perche bien tendu et j'ai appris à mes dépens que le sens des mots pouvait être détourné de leur teneur afin de servir d'autres causes mal-honnête en l'espèce.
N'en déplaise donc au demandeur je ne nierais pas les mots utilisés ni présenterais d'excuses car ils ont étés ré-interprétés par lui-même à son profit.
Tout ce temps de perdu et toutes les procédures ne servent d'après moi qu'à légitimé l'arrivé du nouveau boulanger ayant d'après les rumeurs des liens de parenté avec le maire de manière lointaine et plus proche avec une adjointe car il serait le gendre de cette dernière sans que je puisse donner de nom précis.
Je tiens à signaler que je n'ai reçu aucun conseil d'avocat avant le 10 Novembre 2014 malgrès l'attache avec l'un d'eux et le réglement d'avance de ses honoraires en dâte du 22 Juillet 2014 (une procédure de taxation d'honoraires pour récupérer ces derniers auprès du bâtonnier est en cours).
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Concernant la photo où je figure dans le four:
Cette photos fût prise pour illustré notre situation de blocage à cause d'un four, et ce malgrès l'ambiance que le maire nous imposais avec ses procédures juridique.
Mais aussi afin de meublé avec humour la boulangerie désespérément vide de tout produit.
A elle seule elle représente ma naïveté artistique ainsi que mon expression simplette des faits.
Sachez qu'à l'époque où mon maître de pré-apprentissage débutait (four à charbon) les fours disposaient de plusieurs soles et que lorsque l'une d'elle arrivait en fin de carrière on la remplaçait par une nouvelle, cette opération ne s'effectuait qu'en rentrant de la même manière que moi dans le four habillé d'une toile imbibé de rhum pour se protéger de la chaleur afin de procéder au changement(pour cause les fours chauffaient 7 jours sur 7).
Je tiens à signaler que je n'ai reçu aucun conseil d'avocat avant le 10 Novembre 2014 malgrès l'attache avec l'un d'eux et le règlement d'avance de ses honoraires en dâte du 22 Juillet 2014 (une procédure de taxation d'honoraires pour récupérer ces derniers auprès du Premier Président de la Cour d'Appel de Poitiers est en cours).
Concernant le procès-verbal de constat d'huissiers pour les besoins de la cause :
Actori incumbit probatio traduit par ;
la charge de la preuve incombe au demandeur.
Sachant que la valeur juridique du témoignage est discutable car il est considéré comme suspicieux,Il est conseillé de faire appel à des témoins hors du cercle familial et sans relation professionnelle, bien qu'aucune disposition légale ne l'interdise.
Voilà pourquoi j'ai demandé l'aide d'un huissier, après que l'on me reproche de l'avoir fait !?!
Rien n'interdisait la commune à procédé à des constatations ou autres expertises comme je le disais déjà dans mon courrier du 21 mai 2014.
« Ce courrier n'a pas pour but de me fâcher avec quiconque ni pour fuir mes responsabilités mais de mettre les possibilités d'une sortie de crise à plat afin que chacun creuse la question, je rappelle que le fournil est ouvert à qui le veut et que chacun(e) peut venir cuire regarder quand il le souhaite »
On me reproche que « je ne me sentait aucunement concerné par cette expertise » en effet jusqu'à ce mon avocate ne m'explique le parcours d'une preuve je ne comprenait nullement le sens de faire une expertise car les faits sont/étaient que j’avais déjà perdu mon fond de commerce donc que l'on me dise oui le four fonctionne ou l'inverse cela dans tout les cas ne ramènerais pas mon commerce à la vie.
Je pensais naïvement que mes actions ou photos parlerais.
Je précise qu'une première expertise devait avoir lieu le 9 Juillet 2014 que ma femme à été prévenu oralement lors de la première réunion publique soit le 30 Juin 2014 et sans aucune correction la mairie nous à signifié de la non-tenu de l'expertise le lendemain !
Je tiens à signaler que je n'ai reçu aucun conseil d'avocat avant le 10 Novembre 2014 malgrès l'attache avec l'un d'eux et le réglement d'avance de ses honoraires en dâte du 22 Juillet 2014 (une procédure de taxation d'honoraires pour récupérer ces derniers auprès du bâtonnier est en cours).
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